La mémoire de l'eau est le nom donné à une théorie datant de 1988 selon laquelle l'eau qui a été en contact avec une substance conserve les propriétés de cette substance alors que celle-ci ne s'y trouve statistiquement plus. Depuis strictement aucune preuve expérimentale n'est venue étayer cette théorie.
La controverse médiatique est initiée par un article publié par l'équipe du Dr Jacques Benveniste dans la revue Nature de juin 1988[1]. Cet article décrit la réaction de globules blancs au contact d'un anticorps et conclut que les globules blancs continuent de présenter des réactions alors que l'anticorps est dilué au point d'éliminer statistiquement toute molécule d'anti-IgE dans la solution. Jacques Benveniste et son équipe, membres respectés de la communauté scientifique jusqu'alors, disent avoir fait leur découverte scientifique en 1984 par accident.
La mémoire de l'eau est le nom donné à une théorie datant de 1988 selon laquelle l'eau qui a été en contact avec une substance conserve les propriétés de cette substance alors que celle-ci ne s'y trouve statistiquement plus. Depuis strictement aucune preuve expérimentale n'est venue étayer cette théorie.
La controverse médiatique est initiée par un article publié par l'équipe du Dr Jacques Benveniste dans la revue Nature de juin 1988[1]. Cet article décrit la réaction de globules blancs au contact d'un anticorps et conclut que les globules blancs continuent de présenter des réactions alors que l'anticorps est dilué au point d'éliminer statistiquement toute molécule d'anti-IgE dans la solution. Jacques Benveniste et son équipe, membres respectés de la communauté scientifique jusqu'alors, disent avoir fait leur découverte scientifique en 1984 par accident.
19 juillet 1916, agence centrale de la Société Générale à Nice. Les employés qui pénètrent dans la salle des coffres n'en croient pas leurs yeux : 317 coffres éventrés, le sol jonché de papiers et d'objets délaissés par les voleurs, et un mot collé sur une armoire : " Ni armes, ni violence et sans haine ". Juste 50 millions de francs envolés ! Les cambrioleurs sont passés par les égouts, ce qui leur a demandé des mois de travaux. Le cerveau de ce " casse du siècle " ? Un petit photographe, Albert Spaggiari. Christophe Hondelatte nous conte avec une verve étonnante l'incroyable aventure de ce bandit très " médiatique " : arrêté trois mois après son forfait, il s'évade en sautant par la fenêtre du bureau du juge d'instruction et, pendant douze ans, donnera régulièrement de ses nouvelles au public, paradant devant les journalistes et les photographes sous les déguisements et grimages les plus farfelus, sans qu'on puisse jamais lui mettre la main dessus.
Lors de la guerre Iran-Irak, la France soutenait officiellement l'Irak, dont la supériorité sur le terrain résidait avant tout dans son aviation. Lors de l'offensive Kerbala, cette aviation fut décimée par l'artillerie antiaérienne iranienne, grâce à un système de guidage praticulièrement preformant. La pièce centrale de ce dispositif avait été vendue par un groupe d'armements français alors qu'il s'agissait d'un brevet américain et que l'Iran était sous embargo. Retenu en otage en Iran tout au long de cette affaire, manipulé tant par les Iraniens que par les Français, Bernard Stroiazzo-Mougin raconte..